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1. |
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A l'ombre du grand tout,
Sache que tu n'es pas rien,
Et que si le monde est fou,
Alors tel est ton destin,
Les fantômes du vide,
Pèsent sur ton coeur,
Et la peur de l'échec,
N'est qu'une de tes torpeurs,
A vivre sans ratures,
Tu épuises tes journées,
A contempler ton futur,
Tu détruiras ton passé !
A la recherche de rien, Aux questions si nombreuses,
A mort les chiens, et la vie quand elle est joyeuse !
Pour une ode aux défunts, à la haine venimeuse,
Vive le noir des matins à la bouche pâteuse !
Vive les soirs où les chiens, sortent sans vareuses,
Vivre l'ombre sans crainte, d'une vie peureuse,
A mort l'argent et les biens, Vive les sourires,
Car sans ça, je suis rien, et même encore pire !
A la recherche de rien, Aux questions si nombreuses,
A mort les chiens, et la vie quand elle est joyeuse !
Pour une ode aux défunts, à la haine venimeuse,
Vive le noir des matins à la bouche pâteuse !
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3. |
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Je n'rêve que d'une chose,
Que la parole se libère,
Sur les trottoirs usés,
Où on aura su se taire,
Refrain :
Et l'ombre nous rattrapera,
Car la honte plane,
Sur les idées qu'ils n'ont pas,
Et qui sortent des annales !
Et même si la prose,
Rend les choses plus belles,
Il n'y aura pas de pause,
C'est un combat éternel !
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4. |
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L'inconséquence des puissants,
A renforcé les extrêmes,
Mais ne comptez pas sur moi,
Pour une guerre au nom de la haine,
Moi j'irai pas mourir,
Pour des contrats mal négociés,
Moi j'irai pas crever !
Refrain :
Si on cassait tous les murs,
Si on cassait toutes les frontières,
Si on redonnait du sens,
Aux citations libertaires !
Les sourires comme un malaise,
Une habitude morte,
Y'a trop de fardeaux qui pèsent,
Et de sang sur les portes,
Alors on les garde fermées,
Avec un cadenas dessus,
Avec une éthique baisée,
Et une haine absurde !
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5. |
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Instruis-moi, Donnes-moi une raison de me taire,
D'écouter, Aveuglément ton argumentaire,
Et même si rien ne fait sens, Même si les mots sont maladroits,
Inventes-toi une essence, De toute façon j't'écouterai pas.
Bien assis, Sur le fondement de tes principes,
Tiens-toi droit, Car jamais tu ne tangues !
Dans tes yeux, Tout est si simple ! Y'a qu'à, Faut que, Tout est si simple !
Y'a des lois, qu'il n'y a qu'à respecter,
Pas question, de parler de légitimité,
Et même si rien ne fait sens, Même si les mots sont maladroits,
Inventes-toi une existence, de toute façon, j't'écouterai pas.
J'espère que, la vie ne te fera pas faux bond,
Tu serais le, premier à te trouver con !
Dans tes yeux, Tout est si simple ! Y'a qu'à, Faut que, Tout est si simple !
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6. |
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